On a beau dire et on a beau faire (ou ne pas faire) : les cours sont là pour démentir le scénario qui n'était pas le plus évident et on monte. Nous avions envisagé le débordement de 3700/3720 comme une hypothèse et bien comme pratiquement à chaque fois, c'est le scénario qui ressort. Donc, ignorant les compteurs en zone rouge, les surachats de toutes natures, l'indice est en mesure de déborder son point haut du 28 août à 3724 pour tenter d'aller raccrocher 3750. Au delà, 3840 serait alors la prochaine cible. Toutefois, j'insiste, je persiste et signe : la hausse actuelle n'est pas soutenable compte tenu des diverses indications fournies par nos modèles et je persiste à dire que nous sommes plus voisins d'un top que d'un nouveau démarrage. Il ne sert à rien de donner des conseils si on se borde des deux côtés et qu'on n'accepte pas le risque d'avoir tort. La hausse ne nous déplait pas pour les portefeuilles mais force est de constater que nous n'avons pas de positions sur des actions du CAC 40 et qu'au risque de se tromper cet indice est avant tout composé de valeurs et que nous ne nous ressentons pas d'en acheter. Retour à l'indice lui même : retournement dès que 3710/3700 seraient revus en baisse et a fortiori au dessous de 3675. Signal de vente sous 3645 avec 3600 et 3550 potentiels. Nous procéderons par étapes et resterons très proches de nos abonnés.