Vision bourse 360

So far so good !

L'état français injecte 10 milliards deuros dans plusieurs banques qui souffraient de rumeurs de besoins de fonds propres et sans dilitution du capital. Dans les conditions actuelles que connaît le secteur on estimera que c'est une bonne nouvelle. Ben Bernanke appelle de ses voeux un plan de relance de l'économie americaine et dans les circonstances actuelles on estimera que c'est aussi une bonne nouvelle même si c'est plus un voeu pieux qu'une réalité. Les marchés y trouvent donc légitimement matière à espérer et à monter. A court terme l'indice parisien s'est affranchi de 3470 pour aller tester 3545. Toujours à court terme, les indicateurs sont surachetés même si on n'exclura pas des extensions possibles vers 3575/3580. Au delà de ces niveaux, le CAC pourrait alors prétendre sortir du trend baissier moyen terme en franchissant successivement 3610 et 3710. Ce n'est pas le scénario immédiatement favorisé ! Le retour des vendeurs pourrait vite se faire dans la zone 3560/3550.  3470 devra impérativement tenir pour ne pas nous renvoyer dans la zone de danger vers 3360. En résumé, seul un franchissement à court terme de 3580/3610 prolongerait le rebond mais je crains une réaction baissière sous 3470 car la volatilité reste importante.

Reprise bien fragile

Les grandes manoeuvres continuent au plan international pour instaurer un nouvel ordre financier. Le calme est à peine revenu qu'on voit déjà poindre les séquelles et la contagion de la grande maladie qui affecte le système. ING qui autrefois sauvait Barings est aujourd'hui recapitalisé en urgence et même la Matmut en France se voit exposée à fa faillite de Lehman. Point n'est besoin d'en rajouter en évoquant les Caisses d'Epargne ou le FMI. Même en voulant le discours sobre, on ne peut faire abstraction du réalisme et du pragmatisme qui s'imposent pour tenter de déterminer la suite. Techniquement la question reste posée : a t-on touché le fond ? La semaine qui commence devrait nous donner une réponse. Première étape nécessaire au marché : déborder 3470 à court terme pour ensuite franchir en hausse 3570/3580 en base hebdomadaire. Ce n'est que sur ces bases qu'on pourra envisager une reprise durable au dessus de 3640. Pour l'heure, le court terme est déjà en surextension et sauf extraordinaire la barrière de 4470 reste hors d'atteinte. Vers le bas on surveillera 3350 qui est le point pivot pour les jours à venir et dont l'enfoncement renverrait vers 3240 et 3170. La réponse à la question d'un éventuel point bas à 3048 est  déjà donnée à ceux de vous qui sont abonnés et assortie des stratégies personnalisées à adopter. A suivre...

Pétrole : jusqu'où la baisse ?

Dans mes notes postées les 9 et 24 juillet  j'avais eu l'occasion de mettre en évidence le top du pétrole à 147 et la première étape de sa rechute. Une fois de plus, les économistes et fondamentalistes de tous horizons ont eu largement le loisir de s'exprimer pendant que ceux des abonnés qui m'ont suivi ont engrangé des gains substantiels en jouant la baisse. Crise financière, économies en récession recul de la demande ; l'ajustement en baisse n'est semble t-il pas terminé. Ainsi sur le graphe ci-dessus peut on voir que la probabilité d'un retour sur 64 est des plus évidentes mais qu'une extension nettement au dessous l'est tout aussi. Bien sûr cela ne se fera pas forcément en ligne droite mais si vous voulez savoir comment jouer le mouvement cliquez sur le bouton "s'abonner".      

ça passe ou ça casse !

La fin des contrats à terme devrait occasionner aujourd'hui encore une bonne dose de volatilité. Les USA ont montré l'exemple et l'Europe n'en a pas fini. L'indice a encore pris les devant la veille en craignant un nouveau désastre à Wall Street et il affichait une certaine survente en clôture en base courte. Le point pivot de la séance est 3310 et la résistance est à 3360 avec des extensions probables vers 3372. Pour faire simple : au dessous de 3360 et a fortiori 3300, point de salut et les supports sont 3220 et 3160. Au dessus de 3360, reprise vers 3410 et 3455 et 3500. On est à la croisée des chemins et des mouvements importants sont attendus. Cette fois pour les connaître il faudra vous abonner. Ceux qui le sont n'ont non seulement rien perdu depuis 1 an mais ont gagné 15 % pour les plus conservateurs. A suivre...

De mal en pire !

Une fois de plus beaucoup a été dit sur la crise que nous vivons et certains sont peut-être allés un peu vite en prédisant une sortie par le haut des marchés. Pour ce qui me concerne, et au risque de me faire taxer de Cassandre, je ne pourrai recommander l'achat de l'indice qu'après une phase de stabilisation et une baisse de volatilité quel que soit le niveau. Les rallys que nous avons pu observer sont typiques de marchés baissiers et en sont même les principaux symptomes. Pour l'heure, l'indice ayant non seulement cassé 3380 mais enfoncé le niveau 3300 il se dirige à nouveau vers les plus bas que sont 3000,2960, et 2840. A court terme une faible survente permet de trouver un support  à 3160 et de tenter un rebond. Wall Street sera déterminant dans la séance d'aujourd'hui mais sauf à regagner durablement 3310/3320 et opérer un retournement au dessus de 3500 l'indice reste exposé aux vendeurs. A l'inverse si 3300 devait être vendu, 3130 serait le prochain support.  A suivre ...

La CAC s'enfonce dans le rouge

Une heure avant la cloture et contrairement à ce que j'ai écrit ce matin l'indice n'a pas trouvé de support à 3550 et s'enfonce au dessous de la zone dangereuse à 3480. Si le CAC devait clôturer au dessous de 4480 en direction du prochain support à 4380, la logique de baisse serait alors relancée avec les récents plus bas en ligne de mire et l'objectif déjà mentionné à 2840.

Lendemains de fête

Retour à un calme apparent où la volatilité reste relativement forte même si on est loin des records des 3 derniers jours. Les marchés reviennent aux réalités économiques et les résultats d'entreprises sont à cet égard éloquents. Récession est devenu le maître mot  aux USA et la chute de l'indice NASDAQ illustre le phénomène. La paralysie du crédit pendant trois demaines a provoqué des lésions importantes dans le système. Techniquement, le marché est entré en phase de consolidation et de correction des excès des trois derniers jours. L'échec à franchir durablement 3720 revoie sur le petit support à 3550 qui devrait tenir et permettre de remonter tester à nouveau 3620. Tant que 3480 est préservé les chances de confirmer le rally demeurent et ce niveau ne semble pas menacé à court terme. Comme mentionné la veille, le comblement du gap à 3530 ne serait pas forcément un signe positif mais nous alerterions nos abonnés si l'indice envoyait des signaux de faiblesse. 

Hymne à la joie !

L'Europe si souvent décriée est érigée en modèle. A preuve, les américains vont copier le plan de sauvetage inspiré des anglais et le faire adopter.  La presse a largement commenté ce succcès qu'il ne faut pas sous exposer et les superlatifs ont accompagné les performances des bourses. Le danger est donc éloigné et le pire n'a heureusement pas eu lieu. A peine remis de nos émotions, la réalité fait son retour avec la suite de la crise à gérer. Les statistiques parues ce matin rappellent que nous sommes en recession et qu'il va falloir en tenir compte. La volatilité reste trop importante pour tirer des projections à long terme même si les indicateurs se sont nettement améliorés et n'écartent plus l'hypothèse d'un point bas majeur. La résistance est à 4700/4720 où la pression vendeuse semble pour l'heure réapparaître et limite les extensions possibles vers 3815/3840. Zone de consolidation à 3650/3610 qui devra tenir pour pérenniser le mouvement. Le comblement du gap entre 3610/3530 aurait pour effet négatif de nous rapprocher du point de support majeur à 3480 au dessous duquel l'indice serait à nouveau en danger. Contactez moi pour les stratégies à adopter et les valeurs à acheter ou à éviter. L'abonnement est 100% personnalisé. 

Société Générale : vendez encore ! (suite)

L'objectif  à 46 a été atteint ; j'abaisse mon objectif à 39.60.
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Société Générale : vendez encore !

Après ma note du 9 octobre, le titre a décroché violemment de 60 € pour aller toucher 47 (mon objectif était alors 49). La configuration actuelle laisse toujours de fortes craintes auxquelles s'ajoutent des rumeurs de toutes natures que je me garderai bien d'accréditer. En me fondant sur la seule étude graphique, j'estime que l'heure n'est toujours pas venue d'acheter et je révise mon point bas à 46. que ce soit la Société Générale ou la BNP, il convient d'utiliser ces valeurs comme des baromètres du CAC 40 et d'en tirer les conclusions qui en découlent : vendez !